journalduncelibataire

J'ai revu Véronique, dimanche dernier.
Après une longue ballade à ski de fond (cet hiver nous a gâtés), je me connecte donc à msn, en milieu d'après midi. Véronique est en ligne, nous n'avons pas discuté depuis début janvier, et encore, nos discussions se résumaient à quelques sms, toutefois très coquins puisqu'échangés le soir dans la chaleur de nos lits respectifs...
Donc, j'engage la conversation, nous n'avons rien à nous dire, je lui raconte ma ballade, je lui confirme que je suis fatigué, sans imaginer que c'était un appel du pied de sa part.
- je vais me chercher un café, me dit-elle
- ça réchauffe m'informe-t-elle après quelques minutes,
je n'ai toujours rien à lui dire, il y a du flotement entre nous
- j'en aurai bien besoin lui dis-je après quelques minutes de silence
- la porte est ouverte...
les fils se renouent,
- veux tu faire l'amour ?
- oui, en réel...
Douche, voiture, où je me perds pour rejoindre ma maitresse, chemin encore enneigé devant chez elle.
- veux tu boire quelques chose ?
- non, montons dans ta chambre...
Nous nous deshabillons gentiment pour nous glisser sous la couette, je redécouvre son corps menu et charmant, ses petits seins, sa chatte parfaitement lisse, caresses, léchouilles...
Revenons à nos sms, nous nous sommes avoué nos désirs, nos fantasmes. Ainsi elle m'a avoué aimer les sexes glabres, demandé gentiment si je voulais bien m'épiler pour elle... Chose faite pour ces retrouvailles, avec sa reconnaissance. En réalité ce n'était pas la première fois que je le faisais. Je m'étais épilé il y a quelques mois pour Nadine, uniquement pour prendre quelques photos, ne l'ayant pas encore rencontrée, mais j'y reviendrai un jour. C'est Agnès qui m'a découvert ainsi pour la première fois. J'y reviendrai aussi plus tard mais en quelques mots je l'ai connue avec une fine toison, le lendemain avec un simple "ticket de métro", j'en ai profité pour lui avouer qu'elle pouvait tout enlever... Chose faite séance tenante. Quand je l'ai revue après m'être épilé pour Nadine, elle a apprécié, j'ai pretexté que je l'avais fait parce qu'elle m'en avait donné l'idée ;-)
Revenons à Véronique, elle m'a aussi avoué aimer qu'un homme jouisse dans sa bouche, je lui ai fait préciser qu'elle aimait le sperme, un "nectar" selon ses propres mots ! Je me laisse donc tripoter, caresser, masturber, sucer... Je sens que ça viens, je la préviens, j'explose, mais pas dans sa bouche... Que s'est il donc passé, je n'en sais rien, j'ai joui sur mon ventre, elle a continué à me caresser, à jouer avec mon sperme sans y gouter toutefois. Petite déception mais sans conséquences, peut être une autre fois.
J'ai eu du mal à retrouver la "forme", elle a été patiente, ses caresses prolongées pour me rendre ma vigueur. Je l'ai prise très simplement, presque mécaniquement avant de jouir en elle et de la faire jouir. La fatigue du ski de fond probablement, ce n'était pas notre jour.
Ce soir, je retrouve Claudie pour un dîner chez elle. Il y aura bientôt je l'espère beaucoup à dire sur cette dernière...